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dimanche 21 août 2016

Miami beach



Ce matin, nous avons eu la chance d'aller faire un tour à la plage, dans le quartier de Miami beach, à peine à vingt minutes de chez nous (quand il n'y a pas de bouchons). Afin d'éviter le soleil brûlant avec bébé, nous y sommes allés tôt, y avons déjeuné, et sommes rentrés à la maison en début d'après-midi. C'est un quartier intéressant, avec de petits immeubles en bord de plage, de grands buildings en retrait sur la côte, avec de nombreux restaurants, cafés et boutiques, dont certains ouverts vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Même si le quartier est souvent mentionné dans les médias à cause de la recrudescence du virus Zika, le détour en vaut la chandelle. C'est un quartier en presque-île/île, reliée au continent par quelques ponts, en bord de l'océan Atlantique. Outre une immense plage de sable très blanc, une eau à la même température que l'air, et une vue magnifique sur l'océan, il comprend un quartier art déco avec de nombreux hotels et bâtiments construits entre les années vingt et les années quarante. On s'y serait crû en vacances. Nous y avions déjà séjourné en 2011 lors de nos vacances dans les îles Keys et à Miami, et nous y sommes revenus avec grand plaisir. Miami beach a été une petite parenthèse d'une demie journée qui nous a permis de nous ressourcer avant la dure rentrée qui nous attend cette semaine. J'attends encore que la paperasse soit à jour pour pouvoir débuter mon contrat dans les écoles publiques du comté de Miami-Dade. Pour l'instant, je sais que je vais pouvoir exercer trois jours par semaine dans une école du nord de Miami, en plein quartier haïtien. Je ne sais pas encore où les autres jours me mèneront, car l'agence qui m'a recruté n'a encore pas finalisé les contrats dans toutes les autres écoles. Je suis un peu déçue de ne pas pouvoir poursuivre ma carrière avec des adultes à ce stade ; j'avoue que je suis vraiment moins à l'aise avec des enfants, et j'ai un peu "perdu la main". Néanmoins, après plusieurs mois à la maison à m'occuper d'Amaury, il me tarde de retrouver mon activité professionnelle et d'avoir une autre vie que celle de maman. Et puis, d'ici un an, j'aurai (si tout va bien !) ma licence professionnelle d'exercice qui me permettra peut-être de retrouver la neurologie adulte, à moins que cette parenthèse en milieu scolaire ne me fasse prendre une autre direction ?


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